3 clients de Proprio Direct racontent comme ils ont vendu leur maison pendant la crise de la Covid19.

Bien que la pandémie de Covid-19 ait perturbé l’économie – et le quotidien! - de manière importante, le secteur immobilier, créatif et résilient, est rapidement retombé sur ses pieds. Grâce à l’élaboration et la mise en plus de plusieurs mesures de sécurité visant à protéger la santé des vendeurs, des acheteurs et des courtiers, Proprio Direct a rapidement réussi à reprendre ses activités et a continué, après une courte pause, à vendre des maisons! Écoutez les histoires de trois clients satisfaits qui sont parvenus à vendre leur maison ou acheter leur terrain de rêve malgré la pandémie!

 

couple

 

 

Michelle et Simon, Montréal-Est

« Pour être bien honnêtes, on avait peur de ne pas avoir d’offres! On avait mis notre condo en vente au début mars. C’est un magnifique 5 et demi qu’il nous fallait quitter assez rapidement pour pouvoir emménager dans notre nouvelle maison. Notre courtier nous a bien expliqué la marche à suivre lors des visites; il fallait être absents, nettoyer certaines surfaces; de son côté, il s’assurait d’être le seul à ouvrir les portes et à toucher les choses. Il fournissait aussi du désinfectant et des masques aux acheteurs potentiels. On se sentait en sécurité et il faut croire que les acheteurs aussi, parce qu’on a reçu plus d’une offre. Il y a une crise du logement, à Montréal, et plusieurs personnes cherchent une maison malgré la pandémie. On a finalement vendu légèrement au-dessus du prix demandé. »

 

chalet

 

 

Carl, Notre-Dame-de-Ham

« J’ai mis le chalet de mes parents en vente au mois de janvier, et il ne semblait pas susciter tellement d’intérêt au début. Mais quand la pandémie a commencé, j’ai été contacté par plusieurs citadins. Je crois que la situation leur a fait réaliser qu’ils aimeraient avoir un pied à terre en dehors de la ville. Ma courtière s’est occupée de presque tout et j’ai vendu sans tracas ni complications à la mi-avril. »

 

champ

 

 

Julie et Alex, Sherbrooke

« La pandémie nous a fait réaliser qu’on avait envie de devenir un peu plus autonomes niveau nourriture. Ça fait des années qu’on rêve de cultiver la terre, et on a finalement fait le premier pas : on a acheté une petite terre, pas trop loin d’ici, où on va éventuellement se faire construire une petite maison et commencer à cultiver des légumes et des baies. Sans doute un petit poulailler. Notre courtière nous a déniché un véritable coin de paradis. On a très hâte de commencer à y aménager notre nouvelle vie! »